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vendredi 17 juin 2011

La première ligne de chemin de fer en Tunisie fut construite par la companie anglaise "Tunis Railways Compagny" qui installa, entre 1872 et 1875, le premier réseau de voies ferrées (TGM) reliant Tunis à la banlieue nord. La ligne de la frontière algérienne à Tunis fut reprise par la companie française Bône-Guelma qui remporta par la suite le droit de construire et d'exploiter une voie ferrée entre Tunis et Hammam-Lif en 1880. Par la suite le réseau de chemin de fer continua d'être développé pendant le protectorat pour mieux exploiter le pays. La ligne de Gafsa-Sfax, par exemple, a été construite pour exporter le phosphate tunisien vers la métropole notamment.
 Diaporama Moyens de TransportsLa Gare de Bizerte, 1914Station de Tramway de La Casba à TunisFondouk Djedid, la gare, 1938Gare du Tramway de FerryvilleHalte de Tramway à La Casba, 1908La Gare du Nord à Tunis, 1910La Place et la Gare du Sud à TunisLa Douane en Gare de SfaxLa Gare de MetlaouiLa Gare de SousseLa Place de la Gare à SousseLe Passage a Niveau de Souk-El-ArbaLe Tramway en Gare de Ferryville.





Fondouk djedid, la gare, 1938





Gare de bizerte, 1914





Gare du tramway de Ferryville





Halte de tramway a la casba, 1908




Douane en gare de sfax





La gare de metlaoui





La gare de sousse





La gare du nord a tunis, 1910





La place de la gare a sousse





La place et la gare du sud a tunis




Le passage a niveau de souk el arba





Le tramway en gare de Ferryville





Station de tramway de la casba a tunis
Inauguré en 1902, le complexe du théâtre allait modifier la vie des tunisois. L’ilôt théâtre, casino et palmarium, qui sont attenants et communicants ne transforment pas seulement l’avenue Jules Ferry mais aussi l’ancienne avenue de Carthage.
s’étalant sur 5000 m², le Complexe Municipal contenait un jardin d’hiver qui était qualifié de véritable serre princière.


Le café du casino à Tunis, 1930




Le café du casino à Tunis, 1930





Le café du casino à Tunis

Le café du casino à Tunis






le centre d`art et le palmaruim, 1960





Le theatre italien et avenue Jules Ferry





Le theatre italien, 1904




le theatre italien




Theatre municipale de tunis
Carthage, aussi connue, qu’elle n’a pas besoin d’introduction. Mais on le fera quand même pour rafraîchir la mémoire
Seulement une brève description de sa création
Est la première république conquérante et commerçante dont l'histoire fasse mention. Cet Etat se forma en incorporant les anciennes colonies cananéennes et phéniciennes.




Vers l'an 822, une nouvelle colonie phénicienne, partie cette fois de Tyr, sous la conduite d'une princesse nommée Elissar, vint s'établir à Cambé, fuyant la colère de Pygmalion. Cambé, qui languissait, accueillit avec empressement les nouveaux émigrants et Élissar, appelée dans la légende Didon « la fugitive », acheta du roi des Liby-Phéniciens Japon un vaste territoire où elle bâtit la ville qui prit le nom de Kiriat-hadeschat ou Karth-hadschath « la ville neuve », nom dont les Grecs ont fait Karchédon et les Latins Carthago. Ces événements dans lesquels l'histoire se confond avec la légende et que le vieux Caton, Trogue-Pompée, saint Augustin, ont extrait des traditions carthaginoises elles-mêmes, sont devenus populaires à Rome, grâce surtout au talent imaginatif de Virgile qui se complut à immortaliser le nom de Didon.


Colline de Byrsam Vue prise de du pavillon Beau Sejour




Colline de Byrsa - chapelle saint-louis et le seminaire des peres blancs




Colline de Byrsa




Les Bords du Lac, 1912




Les Collines de Byrsa et de Junon




Vue cote Nord




Vue panoramique, 1908




Vue sur Sidi Bousaid




Vue générale




Vue générale




Vue générale




Vue vers Sidi Bousaid





Vue vers l'hotel saint-louis et jardin public

Bizerte et son Port

Bizerte a tout d’abord été peuplée par les Phéniciens de l’ancienne ville de Tyr, qui était un empire dominant de l'époque, dont la base se situait au sud de ce qui est maintenant le Liban. Les Phéniciens étaient un peuple intrépide qui a entrepris d’explorer la mer méditerranée et d’établir de nouvelles colonies. Tyr était également le lieu de naissance du célèbre Dido, qui est devenu le fondateur de Carthage, la ville ancienne la plus célèbre de Tunisie. Leur civilisation amènera l’alphabet et la langue structurée en Tunisie pour la première fois.

Avant les travaux menés par les Français, la communication entre le lac et la mer est établie par deux canaux prenant leur origine dans le vieux port et se rejoignant avant d'atteindre le lac. Leurs contours donnent un aspect original à Bizerte qui est surnommée la « Venise africaine » avec son « pont des Soupirs ». Ces deux canaux envasés et n'ayant qu'une profondeur de un à deux mètres ne peuvent être facilement utilisés pour la navigation de grands navires.
Plan du canal en 1906
Aussi les nouvelles autorités du protectorat eurent l'idée de couper l'isthme de sable qui sépare le lac de la mer et de créer un nouveau chenal et un nouveau port à l'est de la ville. Le chenal mesurera 800 à 900 mètres de long, 100 mètres de large et neuf mètres de profondeur afin que le nouveau port puisse devenir le plus important de Tunisie et le quatrième de l'Afrique française après Oran, Philippeville et Bône. L'amiral Théophile Aube, pendant son passage au ministère de la marine, projette de transformer le vieux port mais ne peut que faire opérer quelques dragages et c'est en 1890 que commencent les travaux concédés à la maison Hersent et Couvreux pour mettre en communication le lac avec la mer et transformer la rade en un abri sûr. Dans ce but, on décide de construire deux grandes jetées, d'une longueur d'environ un kilomètres chacune, protégeant une étendue de littoral de 1,8 kilomètre et formant un avant-port d'une superficie de plus de 100 hectares. Entre les musoirs des deux jetées, une ouverture de 400 mètres permet l'entrée simultanée et facile de plusieurs navires. Pour accomplir cet important travail, la Société du port de Bizerte utilise la carrière d'Aïn Meriem, située à quatre kilomètres au nord de la ville, qui fournit les blocs de granit qu'un chemin de fer à voie étroite amène jusque sur la digue. Les jetées, une fois terminées, protègent l'entrée du chenal contre les tempêtes et l'envasement. ( Wikipedia )



Canal et Lac de Bizerte, 1902



Debarquement du BAC



Fontaine et Place de France



Le nouveau BAC de Bizerte



Le Pont transbordeur, 1902



Le Transbordeur, 1902



Le vieux Port, 1904



Vue panoramique



Vue Panoramique




Canal de Bizerte, 1904

Divers

Porte de France, 1898
Bab el-Bahr est un monument symbolique de l'organisation urbaine de Tunis héritée de son histoire : érigée au centre de la place des Victoires, cette porte marque la frontière orientale de la vieille ville de Tunis, tandis qu'au delà s'étend la ville coloniale. Bab el-Barh, qui signifie porte de la Mer en raison de son orientation face au lac de Tunis, portait le nom de porte de France sous le protectorat français. Bab el-Bahr constituait l'un des accès à la cité aghlabide entourée de remparts, mais ces derniers furent mis à bas par l'administration française au XIXe siècle, et la porte se dresse désormais seule, surmontée de créneaux. A partir de la porte, la rue Jamâ ez-Zitouna file en direction de la grande mosquée et de la médina labyrinthique de Tunis : la rue est bordée d'une multitude de boutiques d'objets en tout genre, et les marchands plantés devant hèlent les touristes dans un maximum de langues possibles, à grand coup de « c'est moins cher que gratuit ! », pour un décor très vivant. A l'opposé, l'avenue de France précède l'avenue Habib Bourguiba, son prolongement, qui constituent l'avenue principale de la ville européenne.




Le Colises